Salut champion !

Laurent Fignon, double vainqueur du Tour de France en 1983 et 1984 est décédé de son cancer  aujourd'hui; champion d'une classe exceptionnelle et d'une grande élégance, cet homme courageux devant la souffrance laissera le souvenir d'un sportif de tempérament au palmarès exceptionnel et au caractère bien trempé, comme celui de Bernard Hinault , autre vainqueur du Tour mais avec cette différence que lui était sympathique et affable quand l'autre, acerbe et pisse froid voire vindicatif, avait du grand champion , le palmarès et la hargne mais pas l'aura.

J'emprunte la suite à Wikipédia :

 

Laurent Fignon n'appartenait à aucune catégorie spécifique de coureur. Ni pur grimpeur, ni sprinter, ni rouleur ou baroudeur, il était surtout servi par une immense classe qui, quand sa condition physique était au sommet, le rendait irrésistible. Il pouvait alors devenir le meilleur rouleur ou un grimpeur d'exception. Coureur robuste, athlétique et efficace, il avait d'excellentes qualités de récupération qui lui permettaient de trouver dans les courses difficiles ou épuisantes un terrain de jeu de prédilection. Attaquant né, sa tactique se résumait, quand il était en forme, à une démonstration de force en assumant totalement le poids de la course.

S'il faut classer Laurent Fignon, c'est donc dans la catégorie des grands champions qui, à l'instar d'un Bernard Hinault, d'un Greg lemond se reconnaissent par une éclosion très précoce au plus haut niveau international et la capacité de briller sur tous les terrains, en particulier les plus exigeants.

Laurent Fignon était un coureur de tempérament, sûr de lui, sans toutefois manifester les excès orgueilleux de Hinault. Sa froideur et ses petites phrases ont contribué à retarder sa popularité. Il aura fallu la tragique défaite du Tour 1989 pour le rendre sympathique aux yeux du public. Fignon passait pour un coureur atypique, cultivé, qui savait s'exprimer. Pour cette raison, et parce qu'il portait des lunettes, la presse italienne l'avait surnommé "il Professore".

 

Salut Champion !

 

 

Ah?

Elle a un plan !

A la bonne heure !

On voit que c'est la rentrée ; hé , hé , pas pour moi, je folâtre encore au soleil.

 

Affligeant !

Titre du Progrès de Lyon ce matin :

L'entraîneur du Real Madrid en a marre que Benzema dorme aux entraînements

"Le quotidien sportif espagnol Marca rapporte que José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid, a demandé à l'attaquant Karim Benzema de changer de comportement et de ne pas se reposer sur son talent."

 

Vraiment de pauvres mecs , ces footballeurs ; enfin pas tous , sans doute mais suffisamment pour agacer les dents de ceux qui aiment ce sport ou le sport .

 

ps : Nicéphore , y en marre de faire des billets sur le foot , parle un peu de la pétanque , par exemple ...

Ras le bleu

Pas un jour  et pas un journal qui n'évoque les états d'âme des pitres du ballon rond, la pantalonnade de la Fédération, les soucis de Laurent Blanc ; non mais , franchement , qui va nous protéger contre ces grotesques qui n'ont même pas la vergogne de mettre profil bas .

Alors sans Ribéry , sans Toulalan , l'équipe de France est orpheline , l'un serait le parangon des attaquants meneur de jeu et l'autre  la pièce essentielle de la défense ?

De qui se moque t -on ?

 

 

Saint Georges

Ne dirait on pas notre bien aimé président luttant contre l'insécurité ?

 

 

Mais non, sot, c'est un dessin de la Renaissance ( hélas, nicéphore n'a pas retenu son nom)

C'est encore l'été

Pas le même pour tous :

 

Jacques Dubois - moissons en Auvergne - 1958

 

 

 

Lucien Clergue - Deux nus

 

Lucien Clergue est le chantre de la Camargue et des nus dans le sable et dans les vagues , il est le fondateur des Rencontres Photogaphiques d'Arles qui ont lieu chaque été depuis 1969 et où se rencontrent les plus grands noms de la photographie mondiale .

.

 

Nicéphore commence à sortir de sa torpeur estivale...mais pas de vélo ce matin, trop de vent , Collioure et Banyuls inaccessibles pour un pédaleur raisonnable.