Gel et glace
Le froid persistant donne à nos rivières des airs de Sibérie ; la Saône qu'on avait pas vue prise par les glaces depuis 1956 était très complètement obstruée sur une grande partie de son parcours dans les alentours de Lyon:
seuls les gros tankers pouvaient y créer un chenal
au nom prédestiné pour celui ci :
Heureusement , il restait ça et là des plages d'eau libre pour les palmipèdes:
qui savent, à leur manière, se protéger du vent glacial :
bon, j'arrête, je suis frigorifié !