Pour rire
Je lis dans les gazettes ...et je rigole :
L’Europe attend avec impatience le débutant Zidane...
Pas moi; je ne lui pardonne pas le coup de tête en finale de la coupe du monde qui a précipité la défaite de la France
Yannick Noah : «J'ai hâte de jouer ce putain de match»
La grande classe , quoi , Pfffff !
Pellerin tance Hollande et le «lobby organisé» du «milieu parisien»
Et , chère madame , être ministre c'est s'asseoir sur un siège éjectable , alors cracher ensuite dans la soupe , hein , ça manque un peu de tenue .
Cela dit, celui qui en a encore moins , c'est l'autre , le président normal qui lui aurait conseillé de téléphoner chaque jour à Jack Lang et qui lui aurait dit de se "taper tous les soirs des spectacles et de flatter les artistes ". Si c'est vrai , mazette, ça classe le niveau !
Commentaires
Pour Zidane, faites comme moi : ne vous intéressez pas au foot. Je sais, c'est difficile d'y échapper mais bon, suivre un ramassis d'abrutis complètement incultes, à quoi ça sert ? Entre les idioties de Benzema et Valbuena, la grande classe du dénommé Aurier et la classe de pacotille de Zidane, il n'y a guère que Hollande et ses ministres, anciens ou nouveaux, pour être aussi minables, non ? J'allais oublier Noah mais lui, dès qu'il y a une bêtise exprimée, il ajoute sa couche, histoire de rappeler à tous que le roi de la c...nerie, c'est lui.
Vous m'avez fait rire (de contentement) car c'est plutôt bien envoyé ; je ne l'aurais pas écrit aussi vertement mais je suis en phase avec votre charge et bien d'accord quand vous y ajoutez Noah même si parmi les ministres du président normal, certains ne méritent peut être pas autant d'opprobre.
Dans ce qu'on appelle le gouvernement français, il n'y avait guère que Mme Lebranchu qui trouvait grâce à mes yeux, qui me semblait intègre. Parmi les autres, soit nous avons affaire à des tocards avec un ego démesuré -cf. Mme Pellerin qui "a lié avec le destin de ce pays" ; c'est elle qui le dit mais elle ne dit pas "mon" pays mais "ce" pays -, soit des gens dont on se demande ce qu'il y a de socialiste chez eux - voir M. Macron, plus proche du Chirac de 1974 que du tiède Bayrou. Il est vrai que le socialisme français ne ressemble à rien depuis qu'il a choisi Jaurès contre Péguy. Donc imaginez le délabrement encore plus grand causé à cette idéologie par l'épisode Mitterrand. Pour Hollande, mieux vaut laisser tomber : on ne tire ni sur une ambulance ni sur un corbillard.