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banalité quotidiennes

L'oeil s'habitue aux paysages les plus ordinaires et ne les voit plus : banalité des lieux où l'on passe et qui n'accrochent plus la vue parce qu'on les a toujours vus, parce qu'ils ne bougent pas et qu'on en a pas besoin.

Et pourtant, il suffit de s'arrêter , de voir; accessoirement, on peut prendre son appareil photo; c'est ce que j'ai fait l'autre jour, entre le rail et l'eau.

 il y a une gare :

 

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 et puis une vieille auberge à côté :
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 il suffit de passer sous le pont :
 
 
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et voilà la rivière 
 
 
 
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et le panneau bien connu qui met en garde contre la montée des eaux
 
 
 
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Ce n'est pas théorique , le pont  marque la crue séculaire de 1856
 
 
 
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il est inscrit " eaux du 31 mai 1856 " 
 
 
pas assez pour gêner les trains
 
 
 
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c'est beau et apaisant une rivière mais sait-on la regarder, la sentir, la respirer ? 
 
 
 
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C'était la minute de poésie de nicéphore, allongé sous un saule rieur, au bord de l'eau ,dimanche matin; rêvons de temps à autre et quand on entend plus que le coassement des grenouilles et le glou glou de l'eau...qu'on est bien ! 

 

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